Signed, sealed, delivered

L'épisode 21 de la saison 4 de Glee, Wondeful était un hommage à Stevie Wonder et on le sait, les spéciaux de Glee ne sont pas toujours réussis. Là, le job a été fait : bien écrit, agréable à regarder et avec la petite touche Glee qui fait le charme de cette série. Bien sur, on pourrait se plaindre du manque de franche rigolade ou de l'absence de certains de nos personnages préférés, mais on ne peut pas toujours tout avoir. Rachel appelle Will pour qu'il soit le premier à savoir qu'elle a décroché un 2e rappel pour Funny Girl. Will décide de partager sa joie avec son Glee club en leur proposant une semaine  sur un artiste plein de joie : Stevie Wonder. Enfin, Kitty arrive à faire avouer à Artie qu'il a été accepté dans une grande école de cinéma mais qu'il ne veut pas y aller. 

Il n'y a jamais eu beaucoup de suspens dans Glee, mais ces derniers temps c'est vraiment le summum. Entre les auditions de Rachel, la maladie de Burt ou les décisions de Mercedes, rien ne nous surprend. Mais ce n'est pas ce que l'on attend en premier lieu de Glee donc ça nous dérange pas trop. Au niveau musical, ça ne détonne pas des autres spéciaux : quelques très bonnes adaptation et d'autres un peu en dessous. Mais avoir fait revenir Mercedes était la vraie bonne idée de cet épisode tant le registre de Stevie Wonder va bien à sa voix. Et puis on vous l'a fait souvent, une des choses que l'on aime beaucoup dans cette série ce sont ces petites leçons de vie, toutes simples, très vraies et très touchante. Et quand elles sont délivrées pas Burt, comme c'est la cas dans cet épisode, on aime encore plus ! 

Enfin, on est reconnaissantes aux scénaristes de faire revenir les nouveaux personnages de débuts de saison, histoire de ne pas laisser ces story line en suspens. Ce d'autant plus que dans le cas de Cassandra, ce qu'ils nous dévoilent correspond à ce qu'on agit toujours pensé de ce personnage. Finalement ce "spécial" était un petit épisode bien sympa, sans prétention, qui ne restera peut-être pas dans les annales, mais suffit à faire une transition tranquille avant le dernier, qu'on imagine bien cette année dans la veine de celui de la deuxième saison, pas forcément explosif, mais joli...